top of page
  • LE FLEUVE D'OR — Paulo Rocha

LE FLEUVE D'OR — Paulo Rocha

20,00 €Prix
Quantité

LE FLEUVE D'OR

[O RIO DO OURO]

Un film de Paulo Rocha
PORTUGAL-1997 -101 MINUTES- FICTION - COULEUR /VERSION RESTAURÉE
VERSION ORIGINALE PORTUGAISE, SOUS-TITRES FRANÇAIS ET ANGLAIS
AVEC ISABEL RUTH, LIMA DUARTE, JOANA BÂRCIA
Carolina jalouse Mélita, la jeune et jolie nièce de son mari Antonio, surtout depuis qu'il a risqué sa vie pour la sauver de la noyade dans le fleuve. Le Douro, auquel Paulo Rocha rend hommage, est le nœud central, la métaphore topographique et temporelle du film.

-
« [après Les Vertes Années et Changer de vie] Les années ont passé, Isabel Ruth n'a jamais eu de grand rôle à sa mesure. Alors j'ai écrit Le Fleuve d'or, pour lui offrir quelque chose d'énorme, qui laisse place à son imagination démesurée, riche, violente, meurtrière... Je ne vois pas quelle autre comédienne aurait pu jouer cette femme qui tue son mari et barbouille les murs de sa chambre avec le sang du mort ! [...] J'adore les longs plans-séquences, et elle sait comme personne jouer sur la durée, en créant des ruptures dans la continuité. Elle fait des arrêts sur image de quelques secondes, comme les grandes actrices du muet, et puis elle repart dans une direction différente. » Paulo Rocha

-
« Toutes /es histoires de mon enfance constituaient des débuts de fictions plus extraordinaires /es unes que /es autres. Et elles ont continué à me hanter, je n'ai jamais pu les chasser de ma tête. Parce que ce sont des histoires sang/antes et extrêmes qui dépassent les normes admises, complètement démesurées, à la fois amorales et très populaires, qui flottaient sans cesse dans la conversation des gens que j'épiais dans mon enfance. » Paulo Rocha

-
« Je tourne dans des endroits qui m'impressionnent, où il y a des forces extérieures difficiles à contrôler. J'aime que le décor commente les actions des personnages, qu'il murmure: "Ils disent ça, ils font ça, mais regardez, ce sont des idiots". La plupart des films traitent le monde extérieur comme un domestique. Je refuse que le décor soit passif, corvéable à merci. Souvent, dans un même plan, je montre des actions parallèles: une proche de la caméra et une plus loin, qui raconte une autre histoire. » Paulo Rocha

    bottom of page